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F.E.A
2 octobre 2010

Jean-Pierre CHAPEL et les OVNIs

En exclusivité et avec l'aimable autorisation du Président de la commission Sigma de l'Association Aéronautique et Astronautique de France

A la suite des articles consacrés aux PAN, et à l’occasion de la disparition de Jean-Pierre CHAPEL, voici un témoignage de ce grand commentateur paru dans le livre de Jean-Claude BOURET, « Le nouveau défi des OVNIs », retrouvé sur la Toile (http://www.forum-ovni-ufologie.com/declarations-des-politiques- astonautes-scientifiques-et-militaires-f66/celebritejean- pierre-chapel-specialiste-des-questions-spatiales-a-latele- t2283.htm)

JPChapel
Jean-Pierre CHAPEL, invité du journal télévisé de TF1 en 2009

EXCLUSIF: JEAN-PIERRE CHAPEL TÉMOIGNE
Jean-Pierre Chapel, tous les Français le connaissent. Spécialiste des questions spatiales à la télévision, il a maintenant une activité plus terre à terre: les autos et les motos.
A la fin de l'année 1975, par hasard, je demandais à Jean- Pierre Chapel s’il avait étudié le dossier OVNI :
– Mais tu sais que j’ai été témoin!
– Tu plaisantes.
– Pas du tout, j’ai vu un OVNI, et dans des conditions exceptionnelles.
– Raconte!
– Eh bien, cela s’est passé en avril 1963 au Sahara, près de la base d’Hammagir. J’étais journaliste à Europe 1 à l’époque et je m’occupais déjà des questions spatiales. Je participais avec une équipe de techniciens et de militaires à un exercice de récupération de têtes de fusées. Nous étions partis en petit convoi, en tout une trentaine de personnes. « Un avion devait nous ravitailler en vol, un Junker 52 si mes souvenirs sont exacts. Vers 14 heures, un technicien désigne un point noir dans le ciel en criant: « Voilà l'avion ». Bon, nous avons tous continué à discuter sans prêter autrement attention à la tache. Mais au bout de dix minutes, la tache était toujours à la même place.
– A quelle altitude ?
– 3 000 mètres et à 4 kilomètres de notre position.
– Et alors?
– Le capitaine qui dirigeait le convoi a fait brancher un cinéthéodolite.
– Un mot d’explication ...
– Oui, un cinéthéodolite, c’est tout simplement une caméra avec un très puissant téléobjectif de 2 000 mm (grossissement cent fois environ) et un chronomètre au dixième de seconde.
– Vous avez filmé la tache ?
– Oui, et je l’ai vue dans le viseur. Cela avait la forme d’un engin métallique usiné, parfaitement symétrique.
– Forme de soucoupe classique?
– Si tu veux.
– Et le film?
– Eh bien nous avons filmé pendant cinq minutes cet objet immobile et soudain il a disparu à une vitesse fantastique que nous avons pu mesurer, l’accélération atteignait 62 G par seconde.
– Ce qui veut dire?
– Tout simplement que n'importe quel insecte aurait été tué instantanément sans parler d'êtres humains. Les mouches sont tuées avec une accélération de 32 G et les mouches sont les insectes qui ont l’une des plus grandes résistances aux accélérations brutales. J’ajoute que sur le plan technique, en 1976, les engins les plus rapides, les missiles antimissiles américains Spartan ou Nike atteignent Mach 4 en cinq secondes. Des véritables tortues par rapport à l'accélération de cet engin.
– En kilomètres /heure qu'est-ce que ça donne?
– Environ de 0 à 6 000 km/heure en moins de trois secondes!
– Bon Jean-Pierre, tu étais dans le désert, donc le lieu idéal pour les mirages ...
– Nous y avons pensé, mais l'accélération de cet engin était et est toujours infiniment supérieure à nos possibilités techniques. Donc mirage ou pas, cet engin n’avait pas été fabriqué par l'homme.
– Tu es sûr que ce ne pouvait être un engin terrestre, une fusée par exemple puisque tu étais près de la base d’Harnmagir.
– Je suis formel car nous avons envisagé toutes les hypothèses. D’abord une fusée ça ne reste pas en sustentation silencieuse et immobile à 3 000 mètres. Ensuite, je te répète que l’accélération de l’engin est impossible à réaliser même en 1976.
– Un phénomène naturel alors?
– Non, j’ai présente à la mémoire cette image, c’était manifestement une construction.
– Son diamètre?
– Vingt mètres environ.
– Tu penses que c’était un engin piloté ?
– Je n'en sais rien évidemment. Mais c’était la manifestation d’une intelligence, que cette intelligence ait été à l'intérieur de l’engin ou qu’il ait été téléguidé. Et le film tourné pour les militaires?
– Quand j’ai voulu visionner le film personne ne savait où il était. Ça ne veut pas dire qu’on l’aurait caché et que la sécurité militaire ait mis la main dessus. Mais enfin, je n’ai pu le voir, c’est tout. »

Voici un témoignage exceptionnel par la compétence professionnelle de son auteur. Jean-Pierre Chapel n’était pas seul, trente techniciens et militaires ont vu la même chose que lui. Ce fameux film n'a pas été perdu. Il est quelque part dans les archives de l’armée. Fait curieux, j’avais appris son existence par un technicien militaire en retraite et j’avais cherché à le localiser. En vain, malgré quelques indications. Je ne me doutais pas que Jean-Pierre Chapel avait assisté personnellement à l’événement.

Lettre N°9 - 2010 :
Editorial

Rapport d'Etape - Introduction - La situation actuelle en France

LE BILAN DE SIGMA

Implications militaires du phénomène des OVNI

LES CAS FRANÇAIS LES PLUS SIGNIFICATIFS

CONCLUSIONS PROVISOIRES


Articles complémentaires:

L'Armée de l'Air et les PAN

Jean Pïerre Chapel et les OVNI

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Commentaires
G
jean pierre chapel,jean claude bourret et jean pierre petit sont à eux trois les seules personnes pour qui ont peut dire qu'ils sont des éminences dans le domaine qui nous passionnent,dans ce sens qu'ils n'hésitent pas à mettent leurs réputations dans le ridicule face à ceux qui ce prétendent scientifiques instruits certes mais très peux d'intelligence.
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