Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
F.E.A
23 janvier 2009

DIX EXTRACTIONS CHIRURGICALES D’IMPLANTS ALIÈNES ALLÉGUÉS

DIX  EXTRACTIONS  CHIRURGICALES  D’IMPLANTS ALIÈNES  ALLÉGUÉS


Résumé

RK Leir a procédé ou fait procéder à l’extraction de microcorps étrangers métalliques ou non présentant les particularités suivantes : découverte fortuite, origine et date d’entrée inconnue, absence de cicatrice de porte d’entrée, absence d’enkystement fibrocalcique, membrane protéinique de combinaison inédite (protéinat sanguin, hémosidérine, kératine) dure, thixotrope, connectée étroitement à la fois à l’objet et aux tissus adjacents. et en particulier à des néoneurones à type d’extérocepteurs ou de propriocepteurs. Certains en forme de microbilles amétalliques sont rattachés à une dépression cutanée en cupule par une zone de fibroélastose interne de type solaire. Ces objets ont par ailleurs une forme, une structure macro et microscopique, une composition atomique, une fluorescence et des propriétés magnétiques,  particulières. Des investigations supplémentaires sont nécessaires pour déterminer la nature et l’origine de ces objets. Les fonds manquent pour le faire.

 

I. Historique
1.1.  Qui est Leir ?
Depuis 1995, dix extractions chirurgicales de corps étrangers, présumés d’origine extraterrestre, car corrélés à des antécédents d’abduction alléguée, ont été réalisées par le Dr Roger K. Leir qui est Docteur en podiatrie médicochirurgicale, spécialité américaine hybride de chirurgien et de podologue, médecin et chirurgien du pied exclusivement.

Il a été conduit à s’intéresser au phénomène lorsque l’hypnoanesthésiste Derrel Sims lui a présenté un cas d'abduction présumée avec radiographie d'un corps étranger d’origine inconnue. Leir propose d’en prendre à sa charge l'extraction. Il élabore un protocole chirurgical d’extraction et d’étude de ce type d’objets, et réunit à Camarillo, Californie, une équipe chirurgicale et des moyens d’enregistrement vidéo. Leir opère lorsque l’implant est en dessous de la cheville. Sinon, l’opérateur est un chirurgien général et Leir fait l’aide opératoire. Il a obtenu le support financier et technique de l’Institut National de la Découverte scientifique (NIDS) et de la Fondation Bigelow avec certaines contraintes de choix des laboratoires et de publication des résultats. Si une hypnose est nécessaire pour explorer le passé de l’opéré, elle n’a lieu qu’après l’intervention.

Il est juste de rapporter que Leir s'intéresse aux ovnis après avoir entendu son père commenter l'affaire de Roswell et raconte avoir eu plusieurs expériences de type ovnien ou paranormal. Quand un « implant » fait issue, il est souvent jeté par le porteur comme par suggestion hypnotique. Avant Leir, en effet, les affaires de ce type se sont toujours soldées par un échec. Le fragment disparaît, se pulvérise, se liquéfie, sublime ou se révèle banalement terrestre. Pour le préserver Leir recueille l’objet dans le sérum du porteur obtenu prélevé avant l’intervention. L'idée est de le conserver dans un environnement biologique le plus proche de celui qu'il avait, souvent depuis très longtemps, dans le corps humain.

 

1.2.  Les précédents
L’abduit à répétition Whitley Strieber avait à l’IRM la même masse blanche intracérébrale qu’Alice Haggerty. Strieber qui préface le second livre de Leir avait un objet dans le pavillon de l’oreille gauche, le Dr Lerma ne put extraire qu'un fragment de l'objet très mobile. Les examens disent : minuscules tentacules, collagène enflammé, cristaux de CO3Ca. Strieber s’oppose depuis à l’ablation du restant. Sims a fait extraire de l'œil d'un abduit un corps étranger fait d'une enveloppe dure de céramique et d'un cœur mou velouté. Il spécule sur une biocaméra. Richard Price aurait eu un implant dans le pénis qui se serait manifesté tardivement, se serait fragmenté et aurait fait issue spontanément. David Pritchard, physicien du MIT, a d’abord parlé de filaments et crochets pour enfin conclure à un cordon de coton de slip. Budd Hopkins a fait enlever des fosses nasales d'une abduite un objet en forme de microbille. Une de ses patientes Linda Cortile en avait un radioopaque à la racine du nez, évacué spontanément par une narine, objet de 2 cm, tortillé terminé par trois petites spires. Elle a eu une autre aiguille de 6 cm, de la racine du nez à la mâchoire. La veille de l’IRM, du sang sur l’oreiller, plus d’implant... De minuscules implants auraient été introduits dans le crâne via les fosses nasales ou la cavité orbitaire (MT de BROSSES) : quatre ont été rejetés, dont un expulsé par éternuement. Quatre ont été repérés par hasard au cours d’IRM pour problème neurologique indépendant, l’un près de nerf optique. Jennifer a au mollet une «cicatrice» en cupule de 2 cm et deux autres plus petites dans le dos. Christina, abduite à répétition, avait un rectangle sous la peau du genou, cette «écharde » de 2 x 0,03 cm est sortie seule sans saignement à 13-14 ans . Kerry est trouvée à côté de son scouteur des neiges amnésique. Kerry : une cicatrice en trou derrière l’oreille, à la radio une masse intracérébrale inopérable (BH, MT de BROSSES) Cheryl Fernandez a été soulagée d'un présumé implant dans la jambe. Un chirurgien canadien aurait enlevé un implant suspect. Betty Andreasson dit avoir subi l’ablation d’un globe oculaire suivi de sa réinsertion pour pose d’un implant cérébral. Chez Sandy Larson, c’est le cerveau qui a été enlevé et replacé. Dans la gamme des impossibilités ce n’est qu’une de plus. Amy a été soulagée d’un implant du cou amarré aux cordes vocales. Placé par un méchant aliène, enlevé par un bon. On a découvert chez le Pr Salter un implant dans la narine droite. Sarah Smith s’est extirpé du nez une sorte de ver blanc sanguinolent, dont l’extrémité a été brisée par le Pr Grad sous l’objectif du microscope. Taille d’une aiguille à tricoter de 5,5 cm, tête plus large terminée en pointe acérée avec un point bleu sombre. Il contenait du liquide qui a été perdu. Il semblait homogène et organique, il s’est couvert de moisissures au bout de plusieurs mois. On a parlé de cellules végétales et de membrane cytoplasmique. L’analyse n’a rien donné. Mack a fait analyser un objet de 0,5-0,7 cm sorti du nez d’une abduite : sorte de fibre torsadée constituée surtout de carbone et d’oxygène. Si les isotopes sont peu parlants, pour un physicien c’est une fibre artificielle. Jessie Long retrouve par hypnose une histoire d’implant dans le genou. On y retrouve un morceau de cristal.

2. Les antécédents d'abduction présumée
  2.1. Patricia Connely.  Mary Jones, Texas. (Lorgen)
Une nuit de 1969, en vacances sous la tente avec son mari et ses enfants, leur sommeil est interrompu par un ovni, il s'ensuit une poursuite dramatique en voiture par un disque, avec épisode de temps manquant de plusieurs heures ; au retour de la conscience la voiture a changé de direction de 180°. En 1970, une nuit dans leur chambre le couple est réveillé par une lumière verte avec panique, inhibition des mouvements volontaires et encore un temps manquant. Les corps étrangers sont découverts par hasard 20 ans plus tard au cours d'un examen du pied gauche aux R.X. Pas de porte d'entrée visible.


 

2.2.  Peter. Une nuit de 1954, à 6 ans, attiré à l'extérieur par des lumières, il aurait assisté à un quasi atterrissage et ressenti une douleur dans sa main gauche en s’enfuyant. Il a eu, à 17 ans avec un ami et à 23 ans avec sa fiancée, deux autres rencontres rapprochées avec un disque en lévitation au dessus de lui. Découverte ultérieure fortuite d'un corps étranger opaque aux RX à la face dorsale de la main gauche, émettant un champ magnétique. Pas de porte d’entrée visible. Nom : Pat.P, d’Houston (Lorgen) ou P (site internet de Leir).



3.  Les trois interventions du 19 août 1995 Le 19 août 1995, à Camarillo, Californie, deux corps étrangers sont extraits du pied de Patricia, 52 ans, entre le gros orteil et le 2e orteil gauches, et un de la main de Peter, 47 ans, sous anesthésie locale.

3.1.  Objet Patricia n°1 : métallique en forme de T, radio opaque, à l’extrémité distale de la face externe de la 1ère phalange du gros orteil gauche, 5 x 2,5 mm) fin et net à la radio sans calcification autour. La recherche difficile dure plus d'une heure. Au contact de l’objet par le scalpel, douleur aiguë avec mouvement brutal de retrait du membre inférieur malgré une bonne anesthésie. Malgré l’injection complémentaire de lidocaïne, un deuxième contact du scalpel objet entraîne le même mouvement violent. Après ablation, le T apparaît engainé dans une membrane gris sombre brillante dure comme du roc, insécable au scalpel, physiquement attachée au métal, membrane qui était donc invisible à la radio.

3.2.  Objet Patricia n° 2 : métallique, en forme de pépin de melon, ou de puce, plus petit que le premier, visible sur la radio à la face latérale interne du 2e orteil gauche, au contact du tiers médian de la première phalange. Il a de minuscules vrilles aux extrémités des tiges. Après dissection des tissus mous attachés à l'objet et ablation, on retrouve la même membrane, dure brillante lisse, gris sombre, radiotransparente.

3.3. Objet Peter n° 3 : pépin métallique : extraction d'un corps étranger métallique (4 x 2 mm) identique à celui de Patricia 2, radioopaque, il est plus profond que prévu. C’est une puce, couvert de la même membrane gris sombre que le bistouri ne peut entamer. Avant extraction, il émettait un champ magnétique mesuré au magnétomètre.



4. Étude des objets 1, 2, 3 par les laboratoires Soumis à un éclairage ultraviolet les trois objets avec leur membrane émettent une fluorescence lumineuse verte. Derell Sims emporte les objets dans des conteneurs plein de sérum sanguin de l’hôte au Texas. Leir confie des fragments du tissu cellulaire souscutané adjacent aux objets à un laboratoire biologique avec la mention : Parties molles dans l’environnement d’un corps étranger, en inventant un programme d'étude de la réaction tissulaire autour d'un corps étranger. Sims parvient à séparer les membranes des objets en les asséchant, pour des examens séparés, biologiques et métallurgiques.

4.1. Histologie des parties molles adjacentes aux objets et de la membrane biotique

4.1.1. Résultats bruts des labos
- Objets 1, 2 Patricia Tissus adjacents : Labo n°2 : Nerfs périphériques avec fibrose périneurale moyenne. Graisse, tissu fibroconnectif, peau. Fibroadipose et tissu collagène avec hémorragies locales récentes et anciennes. Absence d’inflammation. Membrane de l’objet : peau, kératine, coagulat protéinacé, hémosidérine.  Objet n°3, Peter : Absence de réaction inflammatoire, éléments nerveux, coagulat protéinacé, épiderme dégénéré et hémosidérine.

4.1.2. Absence de réaction inflammatoire. L’introduction d’un corps étranger dans le corps est normalement suivie d’une réaction inflammatoire des tissus mous environnants suscitée par le système réticuloendothélial qui aboutit à un rejet ou à un enkystement chronique par fibrosclérose calcifiante, isolant l'objet de l’organisme dans une gangue solide imperméable. Seuls certains matériaux comme le titane et le molybdène ne suscitent pas de réaction immunitaire. Ici pas d’enkystement mais parfois une membrane protéinique dure insécable (4.1.4).

4.1.3. Présence de neurones aberrants. Présence de néoneurones qui semblent connectés à l’objet ou à sa membrane et aux nerfs et que Leir compare aux propriocepteurs (normalement auprès des tendons, des os et des articulations), et aux extérocepteurs de la sensibilité cutanée, principalement situés dans la pulpe des doigts et dans la semelle plantaire. Cette présence explique la réaction douloureuse au contact du bistouri malgré l'anesthésie poussée.

4.1.4. La membrane engainant les objets est faite d’un coagulat protéinacé, de kératine ou épiderme superficiel dégénéré et de granules d'hémosidérine. L'hémosidérine est un dérivé de l'hémoglobine, porteur d'ion Fe++, transporteur d'oxygène ; avec le coagulat protéinique ils peuvent provenir d’une microhémorragie locale dit le biologiste. Leir s’étonne alors que l’organisme n’ait pas été capable, en 20-40 ans, de résorber les résidus de sang. La présence d'épiderme en profondeur (dans ou sous le derme) est encore moins explicable, au point que le biologiste fait l'hypothèse d’un fragment cutané enfoui au cours de l'intervention. Leir répond qu'il sait travailler proprement. L’absence de fibrose calcifiante, et donc de la réaction inflammatoire qui la précède, semble conditionnée par la présence de cette membrane biotique. C’est un complexe de trois molécules ou métabolites du corps humain : coagulat de protéines, granules d’hémosidérine, kératine. Cette combinaison aberrante de biomolécules (1), leur présence dans le tissu cellulaire sous-cutané (2), leur fonction apparente d’engainement d’un corps étranger (3) à la place de lenkystemùent fibrocalcique, constituent trois premières dans l’histoire de la biologie. C’est en outre le premier tissu protéinique que le bistouri ne peut entamer, donc plus dure que l’os. Elle semble amarrée à de fines ouvertures ou excroissances du corps étranger comme le montre l’examen métallurgique. Elle semble aussi connectée au tissu adjacent et peut-être aux neurones. Ces protéines semblent provenir des propres tissus de l’hôte (Sims). En effet si elles ne l’étaient pas elles auraient été lysées ou rejetées par la réaction immunitaire. Mais interrogé Leir dit qu’on ne sait pas si ces protéines appartiennent à l’hôte ou non, si elles sont naturelles ou artificielles.

5. Interventions des 1er février et 18 mai 1996. Les 1er et 18 mai 1996, trois femmes (Babs, Annie, Doris) sont débarrassées d’une microbille solide amétallique radioopaque de la jambe gauche. Le 18, il extrait un microtriangle métallique près de la mâchoire d’un homme, prénommé Don.

5.1. Objet n°4, Babs, microbille solide. Cette femme de 33 ans, au lendemain d’une abduction présumée, a présenté au niveau de la jonction du cou et de l'épaule gauche une rougeur douloureuse qui a durée 15 jours et a laissé un point douloureux au contact. La radio montre une opacité moyenne en regard d’une tache cutanée violacée en cupule. Le dermatologue diagnostique un épithélioma calcifiant et pense que « l'objet » est un dépôt de calcium. L'examen métallurgique révélera l'absence de calcium et la présence de 21 métaux et métalloïdes. Extraction d'un corps étranger sphéroïde blanc solide, de 2 x 9 mm, en bloc avec la marque cutanée et l’environnement tissulaire. Une membrane molle grisâtre enveloppe l'objet et le relie à la marque cutanée, pas de réaction inflammatoire, présence de neurones autour de l'objet.

5.2.. Objet 5, Annie, microbille, D.O’H, Palm Springs, CA. (Lorgen), 61 ans. Souvenirs d’abduction après observation d’un ovni circulaire au dessus de sa maison. Elle remarque le lendemain une grosseur et une rougeur au niveau de la jambe gauche, qui donne lieu à ponction d’un exsudat violacé abondant, qui n’a pas été analysé. La cicatrisation aurait duré un an. Incision elliptique, extraction d'une petite bille amétallique grisâtre de la jambe gauche, sous-cutanée. L’excision emporte en bloc la marque cutanée, le tissu sous-jacent et le corps étranger. L’objet est dur sans membrane.

5.3.  Objet n° 6 : Doris, microbille, 40 ans, souvenirs d’abduction itérative, elle a vu un ovni au dessus de San Fernando Valley en 1993. Le corps étranger est à la face antérieure de la jambe G près du tibia, petit, rond, radio-opaque, en regard d’une marque cutanée en dépression. Nom : A.L, Newberry Park, CA (Lorgen) Elle subit une hypnoanesthésie du fait d’une allergie à la procaïne et Leir est surpris de la discrétion de l’écoulement sanguin à l’incision. C’est un effet de l’hypnose, Sims a demandé au patient de contrôler son saignement. Excisé en bloc l’objet solide est petit, sphéroïde, blanc-gris brillant, sans membrane.

5.4. Objet n°7 : Don, triangle métallique, fonctionnaire, on a découvert, à propos d’un problème dentaire, un corps étranger radioopaque, minuscule triangle, près de l’angle du maxillaire inférieur gauche en face d’une marque cutanée. Il entend des voix qu’il met sur le compte de l’implant. Le fluoroscanneur permet une localisation précise de l’objet. L’extraction est guidée en évitant la section d’une branche du facial. A l'extraction, l’objet apparaît métallique triangulaire évidé, couvert d’une membrane gris foncé, sombre, organisée, dure, insécable, semblable à celle des trois objets extraits en 95. L’objet semble rattaché à la lésion cutanée, qui est enlevée avec l’objet et le tissu adjacent.

5.5. Les objets : Les trois billes sont faites d'un matériau solide gris blanc, qui n’a pas été étudié par manque de fonds. Elles sont connectées à la peau, rétractée en cupule, par une élastose de type solaire localisée. Elles ont été tolérées sans réaction inflammatoire malgré l’absence de membrane dure, remplacée au moins dans un cas par une membrane molle. Hors du corps les billes rétrécissent par déshydratation. Dans le sérum de l’hôte, elles passent à l’état gélatineux, remises à l’air libre elles retrouvent l’aspect de boule dure. Effet thixotrope. Avant la séparation de l’objet et de sa membrane, exposés à la lumière noire ces quatre objets réémettent une luminescence verte (les billes) ou rose (le ▲).

6. Diagnostic des laboratoires de biologie


 

6.1  Objet n° 4 Babs : Derme et épiderme, inflammation difficile à apprécier, lymphocytes et histiocytes et sidérophages épars ; dans la tumeur elle-même cellules dégénérées, largement constituées de kératine qui ont provoqué une réaction au corps étranger avec un nombre modéré de cellules géantes multinucléées.

6.2. Objet n° 5, Doris : Peau saine, inflammation minime périvasculaire chronique lymphohistiocytique et orthokératose moyenne. Fibrose et élastose solaire. Mononucléaires. Nombreux éléments nerveux. Absence d’hémosidérine. Inflammation minime périvasculaire chronique lymphohistiocytique et orthokératose. Rapport complémentaire : Aucun signe d’augmentation du nombre des éléments nerveux ni d’inflammation chronique significative. Pas d’autre signe histologique d’une réaction au corps étranger. Aucun signe de malignité.

6.3. Objet n°6, Annie : Fibroadipose et fibrose, œdème et nombreux histiocytes contenant un pigment jaune brun rétracté semblant être de l’hémosidérine (hémorragie ancienne ?). Oblitération locale de la lumière des vaisseaux sanguins, inflammation chronique a minima surtout mononucléaire, tissu nerveux présent. Fibrose et élastose solaire. Rapport complémentaire. Pas de signe d’augmentation des éléments nerveux ni de d’inflammation chronique significative, pas de preuve histologique de réaction au corps étranger.

6.4. Objet n° 7, Don : Pas de réaction scléreuse, présence de neurones aberrants, une oblitération de la lumière des vaisseaux sanguins avec périvascularite chronique inflammatoire, une élastose solaire localisée entre l’objet et la marque cutanée qui signe une exposition locale élective à un rayonnement ultra-violet. L'élastose solaire profonde est limitée au derme, comme si seule cette couche profonde de la peau avait été soumise à un rayonnement UV. L’élastose est localisée à quelque mm3 de tissus formant un pédicule fibreux reliant l’objet à la peau, ce qui explique la dépression cutanée. Là encore Leir fait l'hypothèse aventurée d'un instrument chirurgical en forme de cuillère, contenant une source de lumière UV, responsables de l'élastose et de la présence de kératine.

7.  Les tests métallurgiques du Los Alamos nat. lab. et du New-Mexico tech lab: Les 6 objets métalliques ont été analysés par la méthode à double insu - mesure des propriétés mécaniques de dureté et d’élasticité, - densitométrie par immersion au toluène, - microscopie électronique à balayage, - spectroscopie d’absorption X par dispersion d’énergie, sur des lamelles de 1 x 0,02 cm, par spectroscopie laser LIBS relativement non destructrice (50 ng sont pulvérisés), - diffraction X (Cu K α), - tests isotopiques. - propriétés électromagnétiques,

7.1. Structure macroscopique : Des lamelles sont détachées de l’objet n°1 en T de Patricia (lamelle t1,t 2, t 1 : branche horizontale du T, t2 branche verticale du T) des pépins de Patricia n°2 (t3), n°3 Paul (t4) et du triangle de Don n°7 (t6). Une partie commune à tous les échantillons, sauf au t4, comprend des zones semblables dénommées selon leur couleur : écaille, noire, brune, blanche et rouille. Les fragments étudiés sont des montages : t1,2-A, t1,2-B, t1,2-C ; t3-A, t3-B, t3-C ; t6 brun, t6 blanc, t6 perles sur fond blanc. Les billes amétalliques, n° 3, 4, 5, semblent n’avoir pas été analysés faute de fonds. Les tiges des objets métalliques t1,2 et t6 possèdent un cœur en carbure de fer magnétique et un revêtement minéral complexe. Elles sont indiscernables entre elles.

7.1.1. Objet n°1. La tige horizontale du T comprend un cœur de fer magnétique plus dur que l’acier au carbone et une enveloppe de fer, de phosphore et de 11 éléments assemblés d’une façon défiant toute procédure métallurgique, dit-on. L'enveloppe forme un anneau cylindrique cristallin engainant la tige interne. La tige verticale a un cœur mou de carbone au lieu de fer. L'enveloppe est identique à celle du segment horizontal pour ce qui est du revêtement minéral complexe. Un suragrandissement du segment vertical montre une bande cristalline encerclant la tige. La pièce t1,2 (découpée dans les deux pièces du T) comprend deux lamelles de couleur gris noir, avec des zones brun et blanc ; t1,2-A fait 4,4 mm de long sur 0,6 mm de diamètre ; t1,2-B : 5,75 x 0,6 mm, ils sont fortement magnétiques le long de leur axe.

 

7.1.2. Objet n°2. La pièce t3 (lamelle découpée) contient trois éléments : t3-A ou cou (4,1 mm), fin et irrégulier ; t3-B noir mat à dépôts blancs, 3 mm sans cœur métallique, en accord avec sa d° basse ; t3-C (gros bout). 1. Densité par immersion dans du toluène La d° ρ en G/cm³ : t1,2-A : 5,62 ; t1,2,-B : 5,81 ; t3-A : 4,95 ; t3-B : 2,70

2. Indice de dureté

Fragments Vickers Knoop Moh Comparaison
t1-2-B 821 821 7 #quartz très dur
t3-B 136 136 3 #calcite tendre

7.2. Structure microscopique
Microscopie électronique à balayage
Les pièces du T apparaissent structurées. Une extrémité de la tige horizontale est arrondie, l'autre est formée de barbillons et d’hameçons, au centre existe une cavité qui accueille exactement l'extrémité de la pièce verticale.
t1,2-B  comprend un « cœur » et une enveloppe. La surface polie du cœur est blanc-gris et hautement réfléchissante, nettement de nature métallique.
t3-A. La composition et la microstructure varie formidablement d’une région à l’autre du revêtement. Le gros de t3-A et t1,2-B présentent la même microstructure.
Objets n°1 Pat 1 en T
La zone écailleuse  (t1 écaille) est riche en calcium, aluminium, fer (Ca, Al, Fe).
La zone noire (t1 noir) contient de forts taux de cuivre, calcium, fer (Cu, Ca, Fe).
La zone noire de l’autre pièce du T, (t2 noir), est riche en cuivre, calcium, fer (Cu,Ca,Fe).
La zone (t2 brune) est riche en baryum et cuivre (Ba,Cu).
Objet n°2 Pat 2 pépin, riche en Cu, Ca, Fe.
La zone t3 noir, est riche en : Cu, Ca, Ba.
La zone (t3 blanche) : Cu, Ca, Al, Fe.
La zone t3 rouille : Cu, Ca, Ba.
La zone écaille de t3-A contient de grandes quantités de Si, P, Mo, Cl, Na, Ca, moins de Fe et des traces de Cu et évoque une structure en couches de silice. Le « cou » est hautement métallique de composition riche en Fe et à un degré moindre en Cu, Ni, Al, Sn.
Objet n°3, Peter  pépin
Seule la zone t4 noire a été examinée :
Composition principale Ca, Cu, Fe, secondaire Al, Ba, Mn, Na, Ni
Objet n° 7, Don, en triangle.
Il a été traité en trois pièces : 
t6 brune : Cu, Ca, Al, Mg, Na, Si, Ti, Zn ;
t6 blanche : Cu, Ca, Al (comme le t3 blanc de Pat), Fe, Mg, Mn, Na, Si, Zn.
t6 perles sur fond blanc : Ca, Fe, Al, Cu.
Chaque fragment est une combinaison de 6 à 11 des éléments suivants :
Al, Ba, Ca, Cu, Fe, Mg, Mn, Na, Ni, Pb, Si, Ti, Zn.
Éléments métalliques majeurs : Cu, Ca, Fe, Ba, Al.
Éléments en concentration faible : Mg, Mn, Pb, Ni, Si, Na, Zn.
Éléments à l’état de traces : Eu, Ru, Sa.


7.3. Spectroscopie d’absorption X par dispersion d’énergie donne pour :
Composition principale  des objets 1, 2 et 3
t1,2 : Fe, Ca, P,  peu de Cl, et Ru possible. La composition de l’enveloppe est homogène et épaissie au centre (B) de l’échantillon.
t3 :  hétérogène
t3-A : Cu, Al, Sn, Fe, Ni.
t3-B : Na, Si, P, Cl, Mo, Ca, Fe, Cu.
t3-C : Cu, Al, P, Ca, Fe.


7.4. Diagramme de diffraction X.
Les revêtements de t1,2 et t3 présentent une alternance de phases cristallines et amorphes.
En dépit de la faiblesse signal-bruit et de l’existence de phases multiples, on a identifié les phases suivantes :
- anapathite, Ca2Fe(PO4)2H2O
- goethite, FeO(OH)
- oxyde de phosphore, P2O5
- Fe γ, FeP4
La pièce t1,2-B est un alliage riche en fer–carbone, la phase noire cémentite probable Fe3C dans un matrice de ferrite (Fe α). La pièce KT, combinaison des fragments t1,2,3, révèle la présence de Ni et de Zn, des traces d'européum, ruténium, samarium, qui ne pourraient être manufacturés qu'en laboratoire, et de tungstène.



7.5.  Propriétés électromagnétiques
Les fragments t1, t2 et t3-A noir sont fortement magnétisés, t3-B ne l’est pas du tout. Aucun n’est conducteur. Le segment vertical a un cœur de carbone, paradoxalement magnétoconducteur, et de fer, il est attiré par la pièce horizontale par des forces magnétiques.
Presque tous les objets sont fluorescents à la lumière noire.
Si ces objets ont une microstructure globale finalisée, la technique consistant à en étudier des lamelles correspond à l’étude d’une fragment d’une carte à puce.

8. Hypothèses sur le rôle des objets. Au vu du rapport Ni/Fe, le N.M.T. qui ignore l'origine des objets évoque des météorites. Quand il apprend qu'il s'agit de corps étrangers extraits de tissus humains, il suggère une céramique dentaire. Ce qui est exclu car les céramiques dentaires sont l'objet d'une forte réaction inflammatoire. Il tente alors une synthèse dans La lettre d'opinion du NMT de septembre 1996.
In vivo deux des objets émettaient un champ magnétique de 3 milligauss. Après extraction l'émission a cessé.
Leir envisage des objets manufacturés d'origine non humaine possédant une fonction. Au vu de résultats en faveur d'une structure complexe jusqu'au niveau atomique, il élucubre  prématurément des fonctions possibles : émetteur–récepteur, transpondeur, contrôleur du comportement, boite noire, régulateur de polluants, manipulateur génétique, facteur d’écran antimémoire.
A propos d’un implant d’un Albanais de 35 ans qu’un implant dans le premier espace interdigital gauche aurait fait passer d’un comportement agressif à une douceur angélique, le Dr Giorgio Pattera fait l’hypothèse de la stimulation permanente d’un point d’acuponcture provoquant une sécrétion élevée de β-endorphine.

9. Troisième série d’interventions

9.1. Objet n°8. Lyla, 1er décembre 1997, morceau de verre, 37 ans, corps étranger radiodense du talon gauche, superficiel, extraction d'un fragment allongé brillant apparemment sans enkystement. Ni neurones, ni membrane protéinique, le tissu environnant n'est pas attaché à l'objet. Le labo répond silice. Il s'agit d'un morceau de verre banal. Nom : Licia Davidson (L)

9.2.  Objet n°9 : Paul, 17 août 1998, pastille métallique, 45 ans, plusieurs observations d’ovnis, en 1990 découverte à l’occasion d’un accident de ski d’un corps étranger du pouce gauche sans porte d’entrée visible. Le 17 août 1998, extraction d'un pépin métallique typique à membrane protéinique grise bien organisée insécable au bistouri, réaction inflammatoire discrète, pas de néoneurones, fluorescence. L'objet rétrécit après extraction et reprend sa taille après dépôt dans le conteneur à sérum du porteur. Le lendemain, après dessication, Leir peut procéder à la séparation de l’objet et de sa membrane. La présence d’un aimant permet de faire pivoter l’objet de 180 et 360° selon la position d’approche. Débarrassé de sa membrane biotique l’objet n’a plus que l’aspect d’une mine de crayon.
La membrane et le tissu adjacent sont envoyés au laboratoire du Dr Roscher : Aucune réaction inflammatoire, éléments nerveux, hémosidérine, tissu fibrotendineux. 
L’objet est envoyé à un labo métallurgique de San Antonio. Le pic analytique d’éléments atomiques n’a pu être interprété par l’ordinateur malgré 14 examens.

9.3. Objet N° 10 Tim Cullen, 5 février 2000, pépin métallique, ablation d’un objet (découvert dans le poignet gauche au cours d’une radio pour traumatisme). Pas de porte d’entrée. L'implant aurait été posé le 30 mai 1978 au cours d’une rencontre rapprochée consciente, confirmée sous hypnose, avec le quasi atterrissage d'un disque de 30 m devant sa voiture, deux faisceaux lumineux aveuglants les ont frappé, lui et sa femme, perte de conscience, temps manquant, jusqu'à qu'il se retrouvent ayant fait demitour. Deux autres observations en 1994 et 2000.

C’est le quatrième objet en forme de pépin, entouré de la même membrane biotique dure ; in vivo il émettait un champ de 3 milligauss détecté au magnétomètre. Quand on approche un aimant de l'objet, celui se meut et l'on peut le faire avancer, reculer et même tourner de 180°. L’objet a été filmé au microscope : quand on approche un aimant à 5 cm, l’objet vole littéralement vers lui ; dans un bac avec l’aimant par dessus, il se meut avant-arrière-avant en continu et lance deux petits pseudopodes vers l’aimant. Leir pense que l'objet pourrait émettre et recevoir des signaux. Prématuré.
Ce fragment a fourni plus d’informations que les huit autres. L’objet métallique avec sa membrane, mis dans de l’eau distillée, perd ses couleurs et la membrane devient transparente. Sous le microscope on voit alors la structure de la pièce et dans la partie solide une zone à vacuoles pleines d’une substance d’aspect  huileux.
L'examen biologique montre l'absence de réaction inflammatoire, une membrane d'hémosidérine et de protéines sanguines, des formations nerveuses et du tissu fibrotendineux.
Le laboratoire New Mexico Tech découvre le principal composant métallique : du fer amorphe paradoxalement hautement magnétique.
Le laboratoire de San Antonio découvre 65 éléments différents.


9.4. Objet n° 11, 29 octobre 2001, hôtesse de l'air, 49 ans, 20 ans auparavant elle a été réveillée par une vive lumière éclairant sa chambre de l’extérieur, de sa fenêtre elle voit un disque en stationnaire proche silencieux. Le souvenir s’arrête là. Le lendemain sous la douche elle constate une tuméfaction au bras droit  et la présence d’un corps étranger de la taille d’un petit pois mobile sur un cercle de 6 cm de diamètre. Leir le constate encore 20 ans plus tard. Cas présenté au congrès OVNI de Laughlin, en mars 2002. Rapporté dans l'UFO Magazine britannique de mai 2002. Présenté à la conférence internationale de Leeds, 20-22 septembre 2002. Non analysé par manque de fonds.
Ana path : Pas de réaction inflammatoire, neurones, membrane.

10. Physiopathologie des porteurs
Tous les sujets ont un profil psychologique normal, mises à part leurs réminiscences d’abduction et les voix de Don.
Ils ont eu des manifestations postopératoires particulières : rêves d’abduction, sentiment de libération, effet diurétique aigu, fatigue, douleurs, paresthésies, rougeurs.
La moitié d’entre eux et 90% des femmes souffraient de sécheresse oculaire (xérophtalmie)  et de nyctalopie (baisse de la vision nocturne). Amélioration par apport de carottes et de vitamine E. L’adsorption de la vit. A par l’implant expliquerait le déficit A et la fluorescence. Ils présentent, en effet, une hypovitaminose A qui n’est pas due à un déficit d’apport mais à une déficience stéroïdienne médiée par l’implant (Duke), un déficit d’aldostérone, des glucocorticoïdes (cortisol), des adrénostéroïdes minéralocorticoïdes qui réduisent la perte de sel. D’où une compulsion à manger exagérément salé. Le déficit en A et en hormones adrénocorticoïdes expliquerait la fatigue, les troubles autoimmuns, les allergies, les troubles des électrolytes : excès de K et Na extracellulaires.
Plus dans un cas un déficience œstrogénique.
L’action de l'anesthésie locale (procaïne) est modifiée, diminution de l'effet anesthésiant et ou réactions allergiques exagérées. Tous, malgré une bonne anesthésie, ont réagi, certains violemment, au contact du bistouri avec l’objet et à la séparation de l’objet et du tissu cellulaire environnant.
Trois auraient présenté de nouvelles abductions et l'un d'eux aurait un nouvel implant.

11.  Discussion
Il s'agit de dix objets particuliers d’une part en soi, par leur forme, leur structure macro et microscopique, métalliques (puce, T,  Δ) ou amétalliques (microsphéroïdes, extraits du tissu cellulaire souscutané du côté gauche du corps (sauf un).
Je laisse aux physiciens l’interprétation des multiples propriétés physiques de ces objets atypiques, en particulier la fluorescence, le magnétisme, la thyxantropie, passage réversible de l’état solide à l'état gélatineux, de l’opacité à la transparence, la microstructure des objets.
Je constate les anomalies inexplicables des tissus mous adjacents de l’hôte.
- absence d’enkystement fibrocalcique du corps étranger,
- une membrane protéinique dure engainant les objets métalliques,
- des néoneurones adjacents à l’implant,
- des connexions entre la membrane et l’objet, entre la membrane et le tissu adjacent et peut-être avec les neurones,
- l’élastose photonique (microbilles),
- les pseudopodes rétractiles (Cullen).

11.1.  La membrane biotique et l’absence d’enkystement.
Objection  sceptique : - La membrane pourrait être une réaction différente de l’organisme face à un corps étranger particulier. Après tout elle semble avoir la même propriété que l’enkystement : isoler l’objet de l’organisme.  Mais elle semble de plus avoir des relations avec l’objet et avec le tissu cellulaire environnant.
Réponse : - Cette objection pourrait être envisagée en l’absence d’autres anomalies de cette gaine. Cette association protéinique est inconnue, la dureté du roc n’est pas une propriété habituelle des protéines ; elle est amarrée par des prolongements pénétrant dans des ouvertures microscopiques de l’objet ; elle est thyxotrope ; elle peut devenir transparente. Il semble donc que cette membrane ne soit pas une réaction des tissus locaux de l’hôte.
Dans ce cas, cette gaine protéique est-elle suscitée in vivo par l’objet lui-même ? Est-elle artificielle et synthétique  ou faite de protéines extraites de l’hôte, combinées entre elles in vitro et connectées à l’objet préalablement ? Des protéines étrangères à l’organisme auraient suscité les réactions habituelles d’nkystement.
Il semble donc s’agir d’une greffe biominérale utilisant des constituants de l’hôte et neutralisant le système immunitaire. Un objet métallique au contact de la peau, alliance, bracelet, collier, ne provoque pas de réaction, il paraît donc logique d’envelopper un objet dans un fragment de peau prélevé sur le sujet avant de l’insérer dans le tissu cellulaire sous-cutané.  Il fallait y penser.

11.2. La présence de néoneurones. Leir les assimile à des propriocepteurs : capteurs de la sensibilité interne profonde, des sensations internes cénesthésiques (perception des positions relatives des segments du corps) et cinesthésiques (perception des mouvements relatifs des segments du corps). Ces neurones sont normalement au contact des os et des tendons musculaires. Ou à des extérocepteurs, capteurs de la sensibilité cutanée superficielle (toucher, pression, douleur, température). Quoiqu’il en soit, la différenciation et la migration vers le corps étranger de propriocepteurs ou d’extérocepteurs est un phénomène inconnu. Et on ne voit pas comment elles pourraient être provoquées par l’objet.

11.3. L’élastose photonique. Elle est limitée à quelques mm3 de tissu sous-cutané entre peau et objet et témoigne d’un exposition aux UV localisée. A ce niveau la peau présente une dépression provoquée par l’attraction de la peau par les fibres élastiques fibrosées.

11.4. Autres propriétés : amarrage particulier de la membrane au tissu cellulaire et à l’objet, pseudopodes rétractiles.
Si tout ceci est vrai (et pour l’instant il n’y a eu que des attaques ad hominem contre Leir), il s’agirai d’un phénomène nouveau : la découverte d’implants de nature mixte biominérale, de structure complexe jusqu’au niveau atomique, connectés au système nerveux, tolérés sans rejet ni enkystement, à propriétés électromagnétiques. Ces objets semblent manufacturés en vue d’une ou plusieurs fonctions. Ces protéines ont peut-être d’autres fonctions que de susciter une tolérance immunitaire.
Leir a contre lui d’être podiatre, ce qui dresse le corps médical contre lui par réflexe corporatiste. Le Conseil de l'ordre des médecins ou son équivalent étatsunien a ressorti et fait mousser une plainte veillede dix ans d'un malade mort depuis 5 ans et lui a interdit l'exercie de son art pendant un an. Il en a fait une récidive d'infarctus qui avait nécessité un sextuple pontage coronarien en 1985. Leir est passé trop vite aux interprétations, il aurait dû se contenter de décrire ces objets, de dire qu’il ne comprenait rien à leur structure ni aux réactions des tissus adjacents et demander l’aide de la communauté scientifique.

 

Conclusion
L’affaire est importantissime. Quelque soit l’origine de ces objets, leurs propriétés sont extraordinaires et susceptibles de faire faire un bond à l’industrie des implants chirurgicaux. Il semble s’agir d’implant biominéral bien toléré. Et s’ils apportent la preuve d’une industrie allogène et donc de la réalité d’un phénomène nié par la science, sous le prétexte fallacieux et anthropomorphique que puisque nous ne pouvons aller jusqu’à eux, ils ne peuvent venir jusqu’à nous, les gouvernements, les scientifiques  doivent s’en préoccuper toutes affaires cessantes.

J. Costagliola

Autres résultats non corrélés à des implants déterminés
1. A.A Roscher, Los Angelès, Anapath William Welch, 25.08.98
Parties molles, extraction chirurgicale d’un corps étranger. tissu fibrocapsulaire, tissu gras, troncs nerveux, tissu conjonctif fibro-interstitiel, présence d’hémosidérine. L’absence de réaction inflammatoire envers un corps étranger indique que l’objet extrait de la main est de structure inconnue à ce jour, capable de ne pas initier une réponse immunitaire. L’anapath ne peut en dire plus et l’examen de la pièce par radiographie, spectrophotométrie atomique par absorption et microscopie électronique est nécessaire.
2. D. HOWARTH, anapath, 2 juin 1998, rapport complémentaire
parties molles 0,2x0,1x0,1 entourant l’objet
Tissu conjonctif, fibrocytes, dépôts d’hémosidérine, particules noires adhérentes au tissu  conjonctif ainsi que débris rétractiles jaunâtres de 1 à 30 µ. Pas de débris kératinacé. Le matériel étranger n’est pas biréfringent.  Le microscope à lumière polarisée souligne la présence de fibres de collagène, une tache ferrique avec une zone centrale granulaire brune et la présence d’hémosidérine. La microscopie électronique révèle la présence de pics de fer et d’oxygène couplé à un pic de phosphore, le couplage fer phosphore est inhabituel.

3. RK Smith géologue, Los Angelès, 14 septembre 1998
Fragment inconnu donné par Leir et Strieber, 5-7 mm x 3-6 mm, la pièce st très dure. Le matériel pulvéisé est amorphe sans ordre atomique interne


 



Glossaire
- abduction : phénomène réel ou imaginaire, suite à la vision de lumières ou d'ovni, avec des souvenirs d'enlèvement et d'examen clinique dans un disque, conscients ou retrouvés sous hypnose, avec un ictus amnésique appelé temps manquant parles ufologues, du verbe abduire, participe passé abduit, comme réduction réduit, traduction, traduit, induction induit, séduction séduit, etc… abducté calqué sur l'anglais abducted, seducted, etc, est un barbarisme

- élastose : fibrose conjonctive touchant électivement les fibres élastiques sans sclérose - - MUFON : Mutual ufo network, association étatsunienne d'étude du phénomène ovnien - ng : nanogramme ou milliardième de gramme ou 10-9 g

- spectroscope à laser : 50 ng de l’objet sont vaporisés à 10.000 K° provoquant une émission lumineuse atomique caractéristique de chaque élément atomique présent.

BIBLIOGRAPHIE
= Roger K. Leir, Alien implants, A 1998 update, Mufon ufo j. 362:06.98, 3-8 = Roger K. Leir, DPM,  The aliens and the scalpel, Granite Press, Colombus, EU, 1998.    = Eve Frances Lorgen, The effect of implant removal discussed by five individuals, Mufon ufo J. 366,11.98:3-5 = Duke PS, Abductee physiological abnormalities research, Site internet lienscalpel = Roger K. Leir, Implant removals yeld interesting results, Mufon ufo J, 385, 05.2000:3-8 =  Roger Leir, Casebook : Alien implants, Dell publ. New-York, 2000 = Roger Leir, Alien abduction, alien implants, why ? 2001, Mufon sympos. proc. 192-199 = Roger Leir, Ovnis et implants, Le mercure dauphinois, 2003

Extraction de dix corps étrangers : douze étrangetés

1. Absence surprenante d’enkystement fibroscléreux calcifié autour d’un corps étranger ancien..
2. Amarrage particulier des tissus mous au corps étranger et à sa membrane protéinique.
3. Présence aberrante de néoneurones et peut-être de récepteurs, proprio et ou extérocepteurs, dans le tissu cellulaire souscutané adjacent au corps étranger.
4. Enrobement du corps étranger dans une membrane protéinique intimement fixée à des interstices de l'objet. La combinaison de trois types de protéines normales y est rencontrée pour la première fois en biologie : kératine ou épiderme dégénéré, hémosidérine, coagulat protéinacé. Cette membrane semble d'origine sanguine et cutanée de l'hôte. Elle serait responsable de l'absence de réaction inflammatoire. La présence de kératine et de protéines sanguines dans le tissu cellulaire souscutané est aberrante. Cette membrane est dure et insécable au bistouri. Placée dans le sérum de l'hôte ou dans l'eau elle se transforme en gelée (phénomène de thixotropie) ou devient transparente. Elle est transparente aux R.X.
5. Ces objets sont structurés : puces métalliques de 2 mm de diamètre, formes en T ou en triangle de 5-10 mm, microtiges métalliques ou microbilles solides amétalliques de 5 mm. Les tiges du T et du triangle comprennent un cœur mou et une enveloppe dure formant des anneaux de couleurs différentes. Certaines pièces sont agencées pour s'emboîter exactement entre elles.
6. Les objets métalliques sont un alliage particulier de métaux et métalloïdes en quantité importante, mineure, ou sous forme de traces. Les principaux sont  Al, Fe, C, P, S, Ca, Ba, Cu.
7. On ne trouve aucune cicatrice sauf une dépression colorée pour les microbilles.
8. Certaines objets métalliques sont magnétiques ou magnétoconducteurs, y compris le fer amorphe et le carbone.
9. Les microbilles solides, radioopaques, sont sousjacentes à une marque cutanée colorée et une cupule due à la rétraction de la peau par une zone de fibroélastose solaire la reliant à l'objet. Une élastose aux UV interne et limitée à quelques mm3 de tissu est aberrante.
10. Sous lumière noire les objets et leur membrane présentent une fluorescence verte ou rose.
11. Tous les objets suspects sont situés dans le côté gauche du corps.
12. Les porteur d'implants présumés ont fait une ou plusieurs RR3 avec souvenir plus ou moins conscient d'abduction confirmée sous hypnose.



La 11e extraction chirurgicale d’un implant aliène possible
par le Dr Leir, traduit par JC

Le 5 décembre 2003, A&S Research et le Dr Roger Leir ont opéré la onzième ablation chirurgicale d’un corps étranger suspect d’être un implant aliène. La plupart des lecteurs (du Mufon) pouvaient s’étonner du long délai depuis la dernière extraction. Il est dû à la carence de fonds et à la gestion d’autres affaires sans chirurgie, comme le cas de Gary Lowery, qui impliquent une recherche d’ADN coûteuse, reportées au prochain n° du journal. Comme A&S Research, une organisation 501c3 sans bénéfice autorisé, dépend seulement des cotisations et des dons, sans parler de l’absence de contribution du patient à l’intervention, cela impose des limites à la recherche... Cependant, on verra qu’aucune perte de patients susceptibles de présenter le modèle strict de l’abduction n’en est résulté pour nous. Nous continuons de recevoir quelques 300 messages par mois y compris de nombreuses demandes pour recherche d’éventuels implants.
Il y a environ un an et demi, un courriel d’une dame par l’intermédiaire d’un ami nous a informé qu’elle pouvait présenter les critères d’une extraction d’implant. Quand nous recevons les appels de personnes qui nous écrivent pour de prétendus amis, nous suspectons toujours qu’il puisse s‘agir d’elles-mêmes. Notre expérience nous a appris que la plupart des abduits ne veulent pas admettre qu’ils sont impliqués dans le phénomène et gardent le secret. Dans ce cas cependant la personne disait la vérité. Elle avait elle-même un ami proche qui avait eu des expériences qui pouvaient impliquer une abduction aliène. Bien des mois passèrent avant que je parvienne à une communication directe avec le patient. Il a fallu un mois de courriels pour finalement abattre la barrière et permettre au patient d’avoir assez confiance en moi pour me téléphoner.
En raison de l’anonymat exigé, nous l’appellerons Brenda. Il fallut encore plusieurs mois de courriels et de téléphones pour déterminer si vraiment Brenda était le candidat de la prochaine intervention. Elle dut remplir un paquet de questions pour que l’on évalue son implication.
Il semble que, depuis plusieurs années, cette femme de 44 ans a des rêves étranges avec visites de créatures et d’autres événements associés au phénomène de l’abduction. Elle est capable de dessiner soigneusement la figure qu’elle a vu au pied de son lit et qui l’avait réveillée brutalement d’un sommeil profond. Elle lui demanda pourquoi il avait fait cela et il répondit simplement : « J’ai seulement essayé de vous réveiller. » L’être qu’elle dessinait était que celui que nous connaissons sous le nom de « Prédateur Mante Religieuse ». Elle dit le revoir nettement et le décrit dans son dessin avec beaucoup de détails. Il y avait aussi une histoire la liant à d’autres êtres. En plus un ensemble fort d’autres traits caractéristiques du phénomène tels que des marques étranges sur le corps, la peur des ours, une forte répulsion pour le cirque et les clounes, un goût pour les aliments salés, une aversion des lumières fortes de type médical, comme le scialytique au dessus du fauteuil du dentiste, et la nécessité pour ce dernier de surdoser l’anesthésie pour obtenir un résultat efficace.
Récemment elle m’expliqua qu’elle avait un étrange objet métallique dans la bouche. Brenda nous dit qu’elle a de nombreuses radios dentaires et a été interrogée par le dentiste sur cet objet. Elle lui a dit qu’elle ne savait pas son origine et comment il pouvait se trouver dans sa bouche. Sa localisation était incertaine malgré les différentes radios dentaires le montrant. Nous avons consulté les experts dentistes du groupe qui ont vus les clichés et donné leur opinion. Ce qui me semblait initialement un diagnostic très simple devint très complexe car ils ne furent pas capable de déterminer la position précise de l’objet. Sur une vue il semblait être dans la gencive, sur d’autres sous la muqueuse des parties molles de la bouche. Je prescris alors à Brenda d’autres radios demandées par nos experts. Elle les fit faire sans hésitation ni murmure. Finalement, on lui demanda un panoramique dentaire. Quand il virent la radio nos dentistes dirent que l’objet était dans la joue. Arrivé à ce stade tous les rapports et films sont confiés à notre expert radiologue. Il détermina que l’objet avait environ 6 mm de long sur 1 mm d’épaisseur, localisé superficiellement dans un des muscles peauciers de la face et relativement près de la peau de la joue droite.
Une fois ces informations en mains, le cas fut complètement évalué par le l’équipe scientifique. Nous décidons l’extraction chirurgicale de l’objet. Il faut noter que comme pour les autres extractions faites par nous, Brenda n’a jamais subi de régression hypnotique en vue d’accroître ses souvenirs. Nous sommes conduits à penser que si la procédure d’abduction se déroule selon le plan prévu, la victime n’a aucun souvenir de l’événement ni d’aucun événement d’ailleurs. C’est au patient de décider s’il ou elle suivra ou non cette procédure et alors nous essayons de l’aider à ménager une hypnose régressive quelque temps après la chirurgie. Dans le cas de Brenda, nous appelons Budd Hopkins qui, à son tour, conversa avec elle à longueur de téléphone. Il arrangea une session pour elle, après l’intervention, en janvier 2004. Nous continuerons d’échanger nos informations avec Budd dans l’intervalle entre la chirurgie et sa régression.
Brenda arrive en Californie deux jours avant l’intervention en vue de subir les examens de laboratoires et autres explorations nécessaires à mieux comprendre l’objet implanté dans sa joue. Un magnétomètre est utilisé pour déterminer si un champ magnétique environne l’objet. Nous mettons physiquement la patiente sur une esplanade vide loin de toute source électromagnétique et nous trouvons un champ de 2,5 milligauss autour de l’objet. De plus, un détecteur de fréquences radio enregistre des émissions venant de sa joue sur les fréquences de 92,7 et 102,9 mégahertz. Ensuite en utilisant un petit instrument compact qui mesure les densités nous somme capable de localiser l’objet au mm près. Que signifie tout cela ? Pour être franc, je dirais que nous n’en savons rien. Ces données seront évaluées après coup et comparées à celles d’autres patients. Nous avons plusieurs autres cas de champ électromagnétique entourant l’objet mais aucune cas de radiofréquence jusque là.
Après évaluation des données du laboratoire, Brenda est reconnue en santé physique satisfaisante et l’intervention décidée et réalisée le 5 décembre. Bien que nous utilisions un nouveau fluoroscanneur sophistiqué, nous n’arrivons pas à retirer l’objet. Le chirurgien place un instrument dans la plaie opératoire et nous observons sur l’écran de télévision l’objet le long de l’instrument métallique. Nous sommes profondément étonnés de voir le petit objet tourner et danser autour de l’instrument. Pendant pratiquement une heure, l’équipe chirurgicale très frustrée tente d’agripper cette tigette métallique fuyante. Soudain elle est entre les dents de l’instrument et vient à la surface aisément semblant n’être attachée à rien. Aucune explication de ces mouvements d’escamotage. Est-ce simplement dû au champ magnétique de l’objet ou à une autre raison inconnue ? L’objet est enlevé de la compresse et placé dans la solution de sérum sanguin pour sa conservation et son transport. Quand ce fut fait, je note que la pince en acier qui a seulement servi à ce rapide transfert a été magnétisée. Ce qui est doublement étrange parce que ces instruments sont faits pour éviter toute aimantation. La patiente est réconfortée et peut rejoindre sa famille.
Nous envoyons les parties molles qui entouraient l’objet au laboratoire pour analyse. L’objet a bien 6 x 1 mm ; il est de couleur bronze et semble avoir des extrémités épaisses et biseautées. Il est très léger et hautement magnétique. Il est photographié, en particulier au microscope atomique de force, et subit un premier examen au microscope électronique à balayage. Tous les résultats paraîtront dans le Mufon journal plus tard. 
Dr Roger Leir
NDT. Cette fois-ci il n’y a ni enveloppe dure polyprotéinique, ni enkystement de l’objet. A quoi est due alors l’absence d’enkystement ? L’extrême difficulté à extraire un corps étranger radioopaque superficiel, de surcroît aimanté semble-t-il, est incompréhensible. Il en avait été de même lors de l’extraction du premier objet. 
Jacques Costagliola (mèdecin)

Publicité
Commentaires
Publicité
Publicité